L’Adie révèle les résultats d’une enquête inédite qui évalue l’impact des idées reçues sur l’envie d’entreprendre
Si de nombreuses enquêtes s’accordent à dire que les Français ont envie d’entreprendre, l’activité entrepreneuriale reste très inférieure à l’intention de créer. Au rang des difficultés rencontrées, les idées reçues liées à l’entrepreneuriat constituent des barrières majeures qui peuvent conduire au renoncement.
A l’occasion de la « Semaine de l’Adie contre le gâchis des talents » qui a lieu du 28 janvier au 1er février 2019, l’association a mené une enquête exclusive avec l’institut Think auprès d’un échantillon représentatif de plus de 2 000 Français sur les idées reçues qui freinent l’envie d’entreprendre.
En confrontant les perceptions de potentiels créateurs d’entreprises avec leur adhésion aux idées reçues les plus répandues, l’étude modélise pour la première fois l’impact des idées reçues sur le passage à l’acte entrepreneurial.
 Ce qu’on retient de cette étude en quelques chiffres
- 1 Français interrogés sur 3 a envie de créer ou de reprendre une entreprise
- 59% des créateurs potentiels (soit 18% des Français) ont même un projet plutôt mature, déjà préparé ou envisagé d'ici 2020
- 2 potentiels créateurs d’entreprise sur 3 déclarent avoir peur de l’échec et 71% pensent que les entrepreneurs connaissent souvent plusieurs échecs
- 44% des potentiels entrepreneurs pensent que tout le monde ne peut pas créer son entreprise en France
L’entrepreneuriat est la cible de nombreux préjugés anxiogènes
- Idée reçue no.1 : « On ne prête qu’aux riches »
- Idée reçue no.2 : « Il y a trop de complexité administrative pour créer son entreprise »
- Idée reçue no.3 : « Il vaut mieux être un homme, diplômé, de plus de 25 ans et de moins de 50 ans pour créer sa boîte »
Certaines de ces idées reçues les contaminent. 2 potentiels créateurs d’entreprise sur 5 déclarent qu’elles pourraient bien les dissuader de se lancer, d'autant que la moitié d'entre eux ne sont pas convaincus que la société portera sur eux un regard bienveillant une fois qu'ils seront entrepreneurs.
L’Adie lutte contre ces idées reçues et lève les barrières à l’entrepreneuriat
- Sur le financement de la création d’entreprise: l’Adie travaille auprès de tous les acteurs de l’écosystème de la création d’entreprise, à la fois institutionnels, associatifs ou bancaires pour qu’ils portent systématiquement à la connaissance des porteurs de projets qu’ils ne peuvent pas financer les solutions alternatives telles que celles de l’Adie.
- Sur la complexité: l’Adie propose des solutions d’accompagnement à la création d’entreprise, telles que la formation « Je deviens entrepreneur ».
- Sur le profil « idéal » de l’entrepreneur: l’Adie communique pour changer la perception de l’entrepreneuriat français en montrant ses mille visages.
> Télécharger le dossier de presse avec les résultats complets
> En savoir plus sur la Semaine de l’Adie contre le gâchis des talents